(suite 2)
Pour Michael Balint, le traumatisme pourrait avoir une structure[9] :
(à suivre)
Pour Michael Balint, le traumatisme pourrait avoir une structure[9] :
- Il existerait un rapport de confiance et aussi de dépendance par rapport à un adulte.
- L’adulte entreprendrait quelque chose d’hyper excitant, de douloureux ou d’effrayant, de façon inopinée ou répétitive. L’enfant, sensible à la souffrance ou au besoin de l’adulte qui a déterminé son acte, voudrait le réconforter ; cette séduction mutuelle conduit à des actes passionnels ou bien au rejet.
- L’enfant revient à la charge pour poursuivre le jeu, ou bien pour faire cesser le rejet, et rencontre un refus ou la dénégation de ce qui s’est passé.
(à suivre)
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